+A -A e-Mail Imprimer { BÉNÉVOLES À L'ARSLA

Les témoignages de malades, proches, bénévoles et professionnels sont précieux.
Ils nous éclairent sur la personne face à la maladie, l'énergie vitale qu'elle mobilise, mais aussi celle qu'elle peut procurer pour mener le combat au quotidien.
Certains nous disent aussi le sens nouveau qu'elle a donné à leur vie.


CE SIMPLE BONHEUR D’EXISTER UN MATIN DE SOLEIL

Fafi Andignac

Le pavillon Ribadeau de l’hôpital marin d’Hendaye a la grande particularité d’essayer, avec toute son équipe de soignants, et par tous les moyens, de faire oublier la maladie à ses résidants temporaires.
Le cadre y est magnifique, et tout est fait pour rendre agréable les séjours de répit. Chaque jour, des animateurs proposent des sorties, visites, courses, des ateliers cuisine, des concerts …

Lire l'intégralité de l'article

Présentation de l'antenne ARSLA Loire - Haute-Loire - Ardèche

Colette Malleys et Annick Marty

En mai 1997, l’Antenne ARSLA Loire / Haute-Loire / Ardèche est créée par trois patients SLA (dont Mme Colette Malleys, responsable).
Depuis, toutes les six semaines environ, des réunions ont lieu à Saint-Etienne pour échanger astuces, adresses utiles, pour améliorer le quotidien…

Lire l'intégralité de l'article

Regards croisés entre la mère et la fille

Colette et Lucille Malleys

Nous avons rencontré la fille avec la mère, Lucille et Colette Malleys au Centre Médical Germaine Revel (CMGR), centre de répit avec rééducation : orthophonie, ergothérapie, kinésithérapie et balnéothérapie, perdu en pleine nature, un peu au-dessous de Lyon, sur la rive droite du Rhône.

La mère, atteinte de la SLA, depuis plus d'une dizaine d'années, est responsable de l'Antenne de l'Ars, Loire, Haute-Loire, Ardèche. Sa fille a 25 ans, un fiancé, un travail. Dans les échanges de regards entre elles, on sent de la tendresse, de l'affection mais aussi de l'admiration réciproque.

Lire l'intégralité de l'article

Une aventure vécue à deux

François Didier

C'est une aventure vécue à deux : Chantal, mon épouse, et moi-même.

En 1994, inquiet par l'apparition d'une paralysie partielle de la main gauche et orienté par ma culture médicale, j'ai tout de suite pensé à une SLA, diagnostic qui, fort heureusement, ne s'est pas confirmé par la suite. A cette époque également, nous avions vu un ami très proche être rapidement emporté par cette maladie.

Lire l'intégralité de l'article